Le placement préféré des Français, l’assurance vie, est dans la tourmente. Les assureurs entendent restreindre l’accès aux fonds en euros.
Avec le soutien de leur autorité de contrôle qui les appelle à renoncer aux fonds en euros, des assureurs vie parmi les plus gros du marché (Générali, Axa, Swisslife) ont annoncé leur intention de généraliser les barrières d’entrée sur ce placement. Ce compartiment assurant la sécurité du capital versé par l’épargnant représente aujourd’hui 80% de la collecte en assurance vie.
Un contexte financier atypique
Certains assureurs veulent obliger les épargnants à placer une part de ses versements sur des fonds dits unités de comptes (actions, OPCI, ISR,….). D’autres, ont déclaré vouloir augmenter les frais sur versements.
La faute à un contexte économique tendu entre la chine et les Etats-Unis mais aussi un contexte financier atypique avec des taux négatifs depuis juillet 2019. Les fonds en euros sont surtout composés d’obligations d’Etat, or elles ne rapportent plus rien et coûtent même de l’argent à leurs souscripteurs.
Autrement dit, dans un contexte inondé de liquidités, banques et assurances en sont réduites à accepter de payer pour dénicher un support garantissant leur capital !
La mort de ces fonds n’est pourtant pas d’actualité immédiate : les compagnies ont constitué des réserves sur leurs bénéfices des années passées qui devraient leur permettre de compenser ces rendements négatifs.
Mais jusqu’à quand ?
Que faire ?
Aujourd’hui, les compagnies d’assurance ont trouvé la parade à la baisse des rendements sur le fonds euros à travers les fonds structurés notamment. Elle préconise également d’augmenter la part des unités de comptes dans les contrats afin de bonifier le rendement sur la totalité du placement.
Il existe 3 types de gestion dans les contrats :
Libre : choix libre de l’adhérent sur les supports
Gestion pilotée : plusieurs types de profil d’investissement en fonction de l’adhérent
Gestion sous mandat : gestion « plus personnalisée » des supports
L’assurance vie n’est pas morte, elle évolue tout simplement par rapport au contexte actuel.
La mort programmée de l’assurance-vie ?
La fin de l’assurance-vie ?
Le placement préféré des Français, l’assurance vie, est dans la tourmente. Les assureurs entendent restreindre l’accès aux fonds en euros.
Avec le soutien de leur autorité de contrôle qui les appelle à renoncer aux fonds en euros, des assureurs vie parmi les plus gros du marché (Générali, Axa, Swisslife) ont annoncé leur intention de généraliser les barrières d’entrée sur ce placement. Ce compartiment assurant la sécurité du capital versé par l’épargnant représente aujourd’hui 80% de la collecte en assurance vie.
Un contexte financier atypique
Certains assureurs veulent obliger les épargnants à placer une part de ses versements sur des fonds dits unités de comptes (actions, OPCI, ISR,….). D’autres, ont déclaré vouloir augmenter les frais sur versements.
La faute à un contexte économique tendu entre la chine et les Etats-Unis mais aussi un contexte financier atypique avec des taux négatifs depuis juillet 2019. Les fonds en euros sont surtout composés d’obligations d’Etat, or elles ne rapportent plus rien et coûtent même de l’argent à leurs souscripteurs.
Autrement dit, dans un contexte inondé de liquidités, banques et assurances en sont réduites à accepter de payer pour dénicher un support garantissant leur capital !
La mort de ces fonds n’est pourtant pas d’actualité immédiate : les compagnies ont constitué des réserves sur leurs bénéfices des années passées qui devraient leur permettre de compenser ces rendements négatifs.
Mais jusqu’à quand ?
Que faire ?
Aujourd’hui, les compagnies d’assurance ont trouvé la parade à la baisse des rendements sur le fonds euros à travers les fonds structurés notamment. Elle préconise également d’augmenter la part des unités de comptes dans les contrats afin de bonifier le rendement sur la totalité du placement.
Il existe 3 types de gestion dans les contrats :
L’assurance vie n’est pas morte, elle évolue tout simplement par rapport au contexte actuel.